
Il y a des moments où je me sens carrément hors-vie.
Je plonge alors dans un tourbillon d'idées noires qui me bombardent sans relâche.
Aujourd'hui, j'écris à partir de ce trou là.
Pas la peine d'espèrer quelque belle métaphore ou autre texte sublime.
Je ressemble à une épave jetée en mer, sans force, sans aucun espoir de survie...
Sauf...pour servir d'appât.
C'est déjà une bonne action: faire vivre les autres!
Voilà, je me sens mal.
Je repars dans mon trou.
5 commentaires:
Peut-être, chère Karima, ces moments sont-ils des moments privilégiés de retour sur et en soi, des espaces où le vide intellectuel et affectif apparent permet l'absorbtion de nouvelle énergie ! Surtout : une meilleure connaissance de soi pour... partager mieux, ensuite !
Très, très bonne journée, chère Karima.
Gilles
sans doute...l'apprentissage de soi est un exercice difficile qu'un mal d'être ne peut faire aboutir...c'est juste un vide bien vide, un temps qui vous met "out" c'est à dire hors de tout, y compris hors de vous!
Bonjour Karima
Gilles mes respects …
Je partage entièrement l’avis de Gilles en disant que c’est dans la plus grande souffrance qu’on connaît le mieux notre âme et notre fond.
Et parfois il faut tomber au plus bas pour mieux se relever.
Merci pour le partage et bonne continuation
Bonjour Hakim,
puisque tu partage la conclusion du grand Gilles, je ne peux que m'incliner!
merci de venir enrichir mon espace
C'est dans les moments difficiles qu'on découvre soi-même et ça servira à préparer le terrain pour mieux repartir par la suite.
Bon vent
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